A Millau, les militantes et militants ont accroché du tissu noir aux grilles de la préfecture.
A Arras, des faire part de décès des droits des personnes étrangères ont été distribués.
A Paris, des banderoles ont été déployées entre la préfecture et le tribunal.
Carcassonne, Chambéry et Quimperlé ont vu aussi les grilles fermées de leurs préfectures parées de rubans noirs aussi funestes que le projet de loi.
A Valenciennes, les soutiens aux étrangers ont décidé d’un cercle de silence.
A Toulouse, des collectifs et associations ont organisé un rassemblement devant la préfecture avant une conférence de presse pour lancer la dynamique locale des États Généraux des Migrations.