21 février, Matignon : ci gît l’humanité de Macron

Le 16 février, une proposition d’action était lancée pour marquer notre tristesse le mercredi 21, jour de présentation du projet de loi Asile et Immigration au conseil des Ministres.
De Strasbourg à Quimperlé, de Béthune à Montpellier, en quelques jours, des mobilisations se sont organisées, réunissant plusieurs centaines de personnes, habillant de noir plusieurs préfectures.

A Millau, les militantes et militants ont accroché du tissu noir aux grilles de la préfecture.
A Arras, des faire part de décès des droits des personnes étrangères ont été distribués.
A Paris, des banderoles ont été déployées entre la préfecture et le tribunal.
Carcassonne, Chambéry et Quimperlé ont vu aussi les grilles fermées de leurs préfectures parées de rubans noirs aussi funestes que le projet de loi.

A Valenciennes, les soutiens aux étrangers ont décidé d’un cercle de silence.
A Toulouse, des collectifs et associations ont organisé un rassemblement devant la préfecture avant une conférence de presse pour lancer la dynamique locale des États Généraux des Migrations.